Conseiller·ère en matière de vérité et de réconciliation

Note : Ce poste est destiné à une personne Autochtone, et nous encouragerons les candidatures des personnes de Premières Nations, Métis ou Inuits, et qui peuvent également s’identifier comme membres d’un ou plusieurs autres groupes en quête d’équité (p. ex., femmes, minorités visibles, ayant un handicap, 2ELGBTQIA+, minorités religieuses ou culturelles). Vous avez une place au Musée!

Sous la direction de la cheffe des affaires stratégiques, le ou la conseiller·ère en matière de vérité et de réconciliation travaillera avec les communautés Autochtones, ainsi qu’avec les collègues et les divisions du musée, afin de diriger et deterntde conseiller les efforts de réconciliation dans à travers le musée.

Le ou la conseiller·ère est responsable d’établir et de maintenir un engagement positif et durable avec les communautés des Premières nations, des Métis et des Inuits partout au Canada. Ce travail peut également comprendre la collaboration avec des collègues au sein du Musée qui travaillent directement avec les Peuples Autochtones dans le domaine de la recherche scientifique, du développement et de la conservation des collections et du contenu du Musée. Le ou la conseiller·ère est également responsable de diriger l’élaboration du plan d’action du Musée pour la réconciliation, qui reflète les besoins et les priorités des communautés Autochtones, ainsi que de gérer sa mise en œuvre et son évolution.

Le ou la conseiller·ère agit à titre de champion·ne pour la promotion de la réconciliation au sein du Musée et joue un rôle de leadership en proposant des techniques qui assurent une approche globale et cohérente à l’échelle du Musée pour favoriser l’établissement de relations avec les communautés Autochtones. Le ou la titulaire contribue également à l’élaboration de pratiques de travail qui favorisent l’embauche et le maintien en poste des Peuples Autochtones au Musée.

Le ou la conseiller·ère doit viser à forger et à entretenir des relations avec la Nation Algonquine Anishinābe en tant que nation hôte de la région de la Capitale Nationale où se trouve le musée et avec les communautés Autochtones d’un océan à l’autre.